balade en Germanie

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Rouxousou
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balade en Germanie

#1 Message par Rouxousou » 29 nov. 2022, 16:35

Salut les Atociens,

il y qq temps, j'ai fait une virée d'un we avec mon pote Clément. Pour déconner nous avons créé un faux club de biker, les "Wild Pfourtz". bref on fait ce qu'on peut pour s'amuser.

Donc voici le CR de notre balade.

Petit compte rendu de notre escapade Munico-wild pfourtzien

Vendredi soir 17h 15 retrouvage des valeureux Wild Pfourtz devant là où que je bosse.
L'humeur est plus belle que la météo. Mais il ne pleut pas et c'est déjà pas mal.
El Clément entièrement habillé par Jean Claude Killy à l'exception de la veste fournie par son employeur, chevauche fièrement sa nouvelle compagne de route. J'entends déjà aller bon train les commentaires désobligeant à l'égard de la fidélité sans tache de mon ami. Que nenni, je parlais de sa magnifique Yamaha Vigaro 1100. Fo dire qu'elle est belle. Même avec un soleil caché derrière des nuages, j'ai du mettre un masque de soudeur pour ne pas être ébouilli par les chromes de sa machine. Et comme dirait l'autre "le ramage équivaut au plumage", mazette, quel bruit, oups, pardon quel son. A chaque coup de gaz c'est les tambours du Bronx et les canons de Navarone réunis qui rugissent des pots d'échappement. Coté équipement, deux magnifiques sacoches cuirs, certainement volées à Hoss Cartwright, d'une contenance suffisante pour 2 paires de bas résilles et 3 petits strings. Bref largement suffisant pour les affaires de Clément.
Mais pour l'heure les montagnes noires nous attendent. Donc GAZ vers Reutlingen.
Quelques km de liaison jusqu'au pied des rocheuses allemandes pour se mettre en roues et nous menez au départ de la 1ère spéciale. Malheureusement un léger brouillard et une route mouillée associés à la nuit tombante ne nous ont pas permis d'user nos sliders. Tant pis, ce n'est que partie remise. Nous ferons fondre le bitume plus tard.
Arrivé au Wurtemberger hof, Etablissement de bonne tenue ayant un parking privé, mais payant. Nous garons nos destriers et entrons. L'hôtelier ayant, par je ne sais quelle indiscrétion, entendu parler des similitudes sonore du Clément dormant avec sa moto a eu l'extrême gentillesse de nous donner deux chambres simples au prix d'une chambre double. Qu'il en soit remercié lui et sa descendance sur 100 générations.
Les chambres sont coquettes, bien aménagées et d'une propreté à faire jouir un suisse allemand… mais pas très grandes. Quelqu'un de médisant dirait même petite. Mais le coté cabine de bateau m'a plu.
On pose les affaires (3mn pour moi, 20mn pour Clément) et vite au resto. Entre temps j'ai eu le temps de me rendre compte que je m'étais trompé sur l’origine des sacoches de Clément. Elles ne viennent pas de Bonanza, mais de Harry Potter. En effet de sa sacoche plus petite qu'une retraite de travailleur ayant confié ses économies à Enron, Clément sort un sac de sport plus gros que les dividendes perçus par Jeffrey Skilling patron d'Enron. Un magicien ce Clément. Je voyage avec le sorcier de la Bruche.

Sur les conseils de l'hôtelier, nous jetons notre dévolu sur le Ohrwurm. On a presque eu du mal à trouver une place assise. Peu de gens mangent, mais tous boivent. Les Germains ont un sens aigu des priorités. Et comme le restaurateur, bien que croate, est un fin psychologue, la carte a 4 pages de boisson et une ½ de bouffe. Hefeweitsen pour Clément et Hefeweiten dunkle pour moi. L'allemand est logique, en Allemagne le demi de bière fait…roulement de tambour… un demi-litre. Je sais, c'est déconcertant, surtout qu'en plus ils ne préviennent pas les touristes français.….
Clément m'a toujours dit "jusqu'à 10 bières je crains rien". Il va comprendre que boire à l'étranger demande à revoir certaines habitudes. La soirée se poursuit avec la commande du mangé. Steak de Black Angus, une race de bovidé supposée avoir une viande grasse et extra tendre (rien à voir avec un groupe de hard rock qui serait formé par le guitariste d'ACDC et où chanterait Ozzi Osbourne) avec du fromage. Putain ! Fait chier le Sacha avec ces digressions, on sait plus avec quoi va le fromage. Ha oui ! Avec le steak…
Ben non ! Ce n'est pas possible, on ne mélange le steak et le fromage ! Ben si ! En Allemagne ils le font. C'est ça l'intérêt des voyages, on découvre des trucs délirants qui sont complètement différents de comme à la maison et de comme maman fait la cuisine.
Pour la bouffe passons. Pas tendre. Donc ce n'est pas pour rien que, nous, les champions intergalactiques de la gastronomie on ne mélange pas le fromage et le steak.
Mais heureusement il y a la bière pour faire passer. Et on fait beaucoup passer.
Moi qui compte en litre et non en verre, je me dis qu'il est l'heure de lever le pied. De toute façon il est 1h30 du mat, va falloir penser à mettre la viande dans le torchon. On demande la douloureuse et je me lève une 17em fois pour aller faire pipi. A mon retour Clément a payé et commandé des bières. On ne peut pas le laisser seul celui-là. Etant à la moitié de sa limite maxi de 10 verres, il sait qu'il est très loin d'être saoul.
Bien que n'étant pas un adepte forcené des poids et mesures, ma tête qui tourne me laisse vaguement deviner une erreur de raisonnement… Bref on s'enfile la dernière choppe, puis la dernière dernière et on va se couche. Non sans avoir oublié de se donner rdv à 9h dans la salle du petit dej.

Pour moi, petite nuit, entrecoupée d'escale pipi et de prise d'aspirine. Pour Clément je ne sais pas.

Samedi 9h je suis devant le buffet du petit dej (pas de Clément à l'horizon). Vache de vache, les germains maltraitent leurs steaks, mais question Petit dej, ils assurent Grave.
Mais comme je suis d’une nature très raisonnable, je ne me sers que d’une infime partie des victuailles étant à disposition.
Je me fais une 1ere assiette de saumon fumé, de harengs à l'huile, de jambon de la foret noire, de jambon blanc, d'un peu d'omelette, de quelques bretzels, et de diverses petites saucisses fumées. Et c’est tout pour le salé car préfère me réserver pour le sucré
J'en suis à finir le versant salé de mon petit dej lorsque qu'entre dans la salle à manger un zombi. De son pas vacillant il vient s'asseoir à ma table. Grosse frayeur, mais le petit pull marin du mort vivant m’aide déduire qu’en fait il s’agit de mon ami Clément.
Il me grogne un b.nj..r. J'en déduis qu'il a oublié les voyelles dans sa chambre. Etant d'un naturel enthousiaste, je me lance dans une description passionnée du buffet. Et pour prouver mes dires, je tends un beau morceau de hareng à l'huile à mon compagnon de route. "N.n ç. N. p.ss.r. p.s, j. s..s p.s .n t.p f.rm." me dit il.
je me jette sur mon stock de voyelle et je décode. "Non ça ne passera pas, je ne suis pas en top forme". Son teint pale, son œil jaune et le mince filet de bave à la commissure de ses lèvres auraient du me mettre sur la voie. Pour aider mon ami, je lui conseil de manger un petit truc quand même.
Cherchage de nourriture.
Pour ma part, je dégote un peu de pain au pavot avec de la confiture d'abricot, une tranche d'un joli gâteau aux noix, d'un peu de salade de fruit (comme ça les 5 fruits et légumes par mois ce sera fait). Je cherche désespérément les croissants et les pains au chocolat. Mais ils sont aux abonnés abscent. La civilisation n'a pas totalement passée la foret noire.
Alors je prends quelques tranches de gâteau aux noix en plus et une ou deux crèpes.
Clément quant à lui, revient avec un ¼ de ½ bol de fromage blanc à la cerise et un peu du même gâteau.
20 mn plus tard il avale la 1ère bouchée de pâtisserie en déclarant la trouver un peu sèche. Grace à un peu de fromage blanc il expédie sa 2em bouchée en à peine 12' 32" établissant ainsi un nouveau record personnel.
Devant la petite forme de mon commensal (vite un dico) je lui propose de retourner se coucher un petit moment. Il grogne une réponse que je ne comprends pas et se lève.

Midi. L'hôtelier ne voyant pas revenir Clément, demande si nous restons une 2em nuit. Téléphone chambre : Pas de réponse.
Après m'être démonté le poing sur sa porte, une longue plainte déchirant le silence m'indique que j'ai réussi à réveiller le lorrain.
Je m'habille vite et j'arrive" entends-je au travers de l'hui.
Il a retrouvé les voyelles, signe que cette paire d'heure de sommeil supplémentaire a fait du bien.
Je mets à profit les 30mn du "vite" pour payer les chambres. 100 eur les deux. Plus que correct.
A la question "avez vous stationné en voiture dans le parking", sans mentir, car étant en motos, je réponds "non". Ce vol de 5€ n'est que le premier d'une longue série de larcins.
Les Wilds Pfourtz sont comme ça.,Des rebelles n'hésitant pas à braver la loi.
Finalement nous enfourchons nos engins, en route pour Munchen.

La route est moins déplaisante que je ne redoutais. Evidement la traversée des ses plaines ne regorge pas de virolos, mais les paysages sont bucoliques et les routes agréables. Notre rythme est calme, et les kilomètres défilent gentiment. Il est à noter qu'à midi nous avons fait diète. Il ne sera pas dit que notre we c'est inscrit sous le signe de la bâfrerie et des abus en tout genre. Arrivé à l'Ibis budget de Munchen, les joues de Clément sont d'un rose indiquant la nette amélioration de son état. J'en suis très heureux. Nous avons deux heures devant nous avant de rejoindre la Mecque du houblon, j'ai nommé le HOFBRAUHAUS. On en profite pour garer nos motos dans le garage souterrain de l'hôtel. L'hôtelier, d'un naturel roublard et travaillant dans un établissement à petits prix, a donc l'habitude des pauvres essayant toujours de niquer les multinationales (Ibis fait parti du groupe Accor, la plus grande chaine d'hôtel au monde. Et c'est Français Monsieur ! Cocorico). Il nous demande 5eur avant de nous donner le code d'accès au garage. Tout en nous disant après que nous l'ayons payé que le parking de l'hôtel est complet et qu'il faut aller se garer dans un autre garage à 800m de là. Bon rien à dire, il a été plus fort que nous, un roublard je vous dis. Nous mettons bien 20mn à trouver ce putain de second parking, car il n'est pas à 800m mais à peine 150m. Bref on cherchait dans le mauvais quartier. Mais ça nous a permis de localiser la station de métro. Normalement, je roule bourré, mais j'ai fait la promesse à Nathalie de veiller sur Clément. Donc Metro.
La station s'appelle météopierreplace (Wettersteinplatz). Une mamie roumaine ne parlant que le roumain, le serbe et quelques mots de bulgare nous explique comment prendre un ticket, quelle ligne emprunter et à quelle station descendre pour se rendre au centre ville. Ne maitrisant pas toutes les subtilités de ces belles langues slaves nous prenons le ticket le moins cher. Fo' appuyer sur le bouton K et donner 1.30eur à la machine. Après avoir passé 15mn devant, moi le plan du métro et Clément devant le plan des trains grandes lignes, nous parvenons à la conclusion que le ticket K n'est valable que pour 4 stations alors que nous avons 5 stations avant d'arriver à destination. C'est là que nous entrons pour la deuxième fois dans l'illégalité la plus complète. Des rebelles je vous dis, les Hells Angels n'ont qu'à bien se tenir. En cas de contrôle Clément à tout prévu, il me présente son explication : seules deux stations l'intéressent. Celle de départ et celle d'arrivée, et ce n'est pas de notre fautes, si entre les deux y a des tas de stations qui servent à rien. Chapeau l'artiste ! Et encore, il n'est pas à 100% de ses capacités. Je suis fier d'être son ami.
Nous retrouvons la surface après un quart d'heure d'une rame de métro des années 50. Tel de grands fauves sentant un point d'eau à des km, notre instinct nous mène dans la direction du palais de la bière. Sur le chemin nous visitons pleins de trucs super beaux. Nous sommes très attachés à la culture et nous nous arrêtons à deux reprises pour prendre une photo. Et tant pis si nous passons pour des intellectuels. Les Wilds Pfourtz sont comme ça, ils n'hésitent pas à choquer pour rester eux-mêmes. Vingt minutes de marche plus tard nous voilà arrivé au lieu mythique pour la dégustation de bière. Le HOFBRAUHAUS.
Nous poussons les portes et l'ambiance feutrée digne d'un club de gentlemen anglais nous accueille. Ici tout n'est qu'élégance, harmonie, retenue et délicatesse. J'aurais pu écrire ordre et beauté, luxe, calme et volupté., mais je ne veux pas vous saouler avec des citations (on est comme ça chez les WP aussi cultivé que J-P. Foucault le philosophe mais on ne la ramène pas). Le rez de chaussé est plein comme un œuf et ça sent bon le choux, la bière et la graisse chaude. Même sans crier trop fort j'arrive à dire à Clément qu'on va avoir du mal à trouver une place. Vite aux étages. Une volée de marche plus haut nous trouvons une table libre dans l'une des salles du 2em étage. Ici c'est encore plus calme et nous pouvons nous recueillir en toute sérénité dans le menu. Blonde pour Clément et Brune pour moi (je préfère les brunes). Nathalie si tu me lis, je parle bière et uniquement bière. Prévenant, je fais remarquer à Clément qu'ici le demi fait un litre. Mais il avait déjà observé attentivement son verre et tiré de lui-même la conclusion qui s'imposait, à savoir boire alternativement de la main droite et de la gauche pour éviter la tendinite. Comme quoi les voyages forment la jeunesse. Nous commandons un petit Gebratenchweineshaxefleich (le dernier ferme la porte) comme repas. La viande est savoureuse. A mon gout, la brune bien que très agréable sous la langue, a un peu trop de caractère pour accompagner la viande, n'étant pas d'un naturel sectaire je passe donc à la blonde.
Ô temps ! Suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
Me dit poétiquement Le Clément (et non pas la Martine) qui n'a pas tort. On n'est pas plus mal ici qu'au fond de la mine à pousser les wagonnets. Ayant peur du rude climat de Munchen je commande un Spanferkelbraten qui s'avère beaucoup plus facile à manger qu'à prononcer avec une petite bière pour faire glisser. Il est presque minuit et comme toutes les citrouilles et tout les Truffaut, nous quittons ce lieu magique pour prendre le dernier métro, non sans avoir laissé un pourboire à notre serveur chilien. Billet K car on continu de braver la société de consommation et 5 stations plus tard nous sommes à 300m de l'hôtel. Grace à notre sens de l'orientation affuté combiné à un gps haut de gamme, nous mettons à peine 30mn pour faire ces 300m. A notre décharge il faut préciser que cette traitresse de station météopierreplace (Wettersteinplatz) à deux sorties. Bref nous finissons tout de même par retrouver nos lits.

Longtemps, je me suis couché de bonheur. Cet incipit (merde re-dico) de Marcel Pfourtz (un frère bicker ?) fonctionne aussi à Munich, et nous permet de nous lever frais et dispo à 8h45. Un ciel bleu nous accueille. On récupère les motos. Salon de thé pour le petit déjeuner, tenu par une gracieuse bavaroise d'à peine 100kg mais vice championne du monde de pâtisserie. Miam. Retour à l'hôtel pour finir de préparer nos affaires et rapide comme l'éclair (au chocolat) nous quittons Munich vers 11h. Le temps est au beau fixe et on se régale aux guidons de nos engins. Que du bonheur. Nous empruntons quasiment la même route qu'à l'aller. Mais la circulation est bien plus dense. Les allemands n'ayant que peu de chien, le dimanche ils promènent leurs voitures. Ils appellent ça "wandern". En français ça se traduirait par un mélange de flâner, marcher, randonner, se promener. Normalement ça se fait à pieds, mais ils l'applique aussi aux voitures Et comme ils ont des caisses pourvues de très gros moteurs, ils n'hésitent pas à pousser leurs mécaniques jusqu'à des effrayants 65km/h. Bref nous avons du doubler la moitié des voitures allemandes en circulation. Après de nombreuses escales techniques imputables à la taille ridicule de ma vessie, nous choisissons une auberge pour un rapide déjeuné. Les serveuses sont en costume traditionnel. Mais bon nombre de clients ou de clientes également. Et je dois dire que les jupes à carreaux recouvert de tabliers blancs et les corsets à balconnets ne sont pas sans charme. Etrangement je suis moins emballé par les culottes en peau, les chaussettes jusqu'aux genoux et les chapeaux à plumes. On se nourrit rapidement et retour à la route. La traversée de la foret noire est bien plus agréable par beau temps et route sèche. Clément mène sa machine à un bon rythme faisant crisser ses pneus comme Strasky le fait avec sa Ford gran Torino de 1974. C'est aux portes Archen que nos routes se séparent. On se fait un gros schmoutz viril et c'est la tête pleine de chouettes souvenirs que nous regagnons nos pénates.

Merci Clément pour ce superbe weekend.


Tcho !
vous avez vraiment tout lu ?????
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Re: balade en Germanie

#2 Message par Zebulon » 29 nov. 2022, 17:56

...et nous nous arrêtons à deux reprises pour prendre une photo

c'est vrai que si long à lire sans aucune §photo .... :shock: sinon merci pour le partage
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Re: balade en Germanie

#3 Message par Quasimoto » 29 nov. 2022, 18:18

Danke pour ce bon moment de lecture.
N'ayez pas peur du bonheur , c'est juste un bon moment à passer.

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Re: balade en Germanie

#4 Message par Faby68 » 29 nov. 2022, 20:44

Oui, j'ai tout lu sans m'arrêter ! J'aurais pas pu faire autrement, de toute façon ! §super2

Cette propension à l'opulence ( solide §miam comme liquide §verre ) me parle bien ! Et ce n'est pas ce qui semble te déranger le plus !
Merci pour ce riche récit !

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Re: balade en Germanie

#5 Message par Le Prof » 29 nov. 2022, 21:40

Très sympa. Joli plume pour un rebelle !

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Re: balade en Germanie

#6 Message par Rouxousou » 30 nov. 2022, 08:37

merci les gars,
c'est vrai qu'en relisant, je parle beaucoup plus de table que de route... On ne se refait pas ! 😅🍺
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Re: balade en Germanie

#7 Message par Pacha » 06 déc. 2022, 18:35

§1er Excellent !!

§super

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